11 mars 2010
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On n'attendait pas la crise dans le secteur des jeux vidéos, censément en pleine phase de croissance grâce à l'ascension de consoles de jeux de nouvelle génération. Et pourtant... Ubisoft n'est pas notre loser numéro deux par hasard !
Pourtant, le secteur a violemment plongé en 2009, comme en témoignaient les chiffres publiés par Ubisoft au deuxième trimestre civil de l'année dernière : l'éditeur français avait vu ses ventes dégringoler de 50,6% sur la période, à 83 millions d'euros ! Il s'est un peu rattrapé en fin d'année grâce à son jeu star Assassin's Creed, mais le jeu tiré du film Avatar a quelque peu déçu.
L'année 2010 va s'avérer délicate, entre un hypothétique retour de la croissance et des coûts de développement de jeux toujours plus élevés. Sous l'effet de la rupture du cycle de croissance du secteur, Ubisoft s'est installé sous les 10 euros, sans qu'une nouvelle baisse soit exclue. Natixis table ainsi sur un objectif de 6,50 euros !
Voir les autres "losers" de l'année : le numéro 1, le numéro 3, le numéro 4, le numéro 5.
Pourtant, le secteur a violemment plongé en 2009, comme en témoignaient les chiffres publiés par Ubisoft au deuxième trimestre civil de l'année dernière : l'éditeur français avait vu ses ventes dégringoler de 50,6% sur la période, à 83 millions d'euros ! Il s'est un peu rattrapé en fin d'année grâce à son jeu star Assassin's Creed, mais le jeu tiré du film Avatar a quelque peu déçu.
L'année 2010 va s'avérer délicate, entre un hypothétique retour de la croissance et des coûts de développement de jeux toujours plus élevés. Sous l'effet de la rupture du cycle de croissance du secteur, Ubisoft s'est installé sous les 10 euros, sans qu'une nouvelle baisse soit exclue. Natixis table ainsi sur un objectif de 6,50 euros !
Voir les autres "losers" de l'année : le numéro 1, le numéro 3, le numéro 4, le numéro 5.