11 janvier 2010
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C'est la même rengaine depuis de nombreuses années. Vivendi souhaite racheter les 44% détenus par Vodafone ans l'opérateur télécoms SFR afin de la conhtrôler à 100%, mais son co-actionnaire refuse toujours. Cependant, les choses pourraient changer prochainement, principalement pour deux raisons.
Tout d'abord, la direction du britannique Vodafone a changé récemment. Et le nouveau PDG du groupe britannique, Vittorio Colao, semble plus ouvert à la discussion que son prédecesseur, Arun Sarin, qui a dirigé l'entreprise de 2003 à 2008.
Ensuite, l'arrivée prochaine de Free dans la téléphonie mobile, principale vache à lait de SFR, induit un risque de baisse de la part de marché de celui-ci, donc de sa valorisation. Un risque que Vodafone n'est peut-être pas prêt à prendre, surtout que c'est son partenaire, Vivendi, qui a le contrôle opérationnel total de SFR.
Une telle opération pourrait coûter 10 milliards d'euros à Vivendi, mais lui permettrait de toucher 100% des dividendes de sa filiale tout en lui donnant les coudées franches à l'international. Le pacte d'actionnaires de SFR empêche en effet la société d'avoir une activité en dehors de France : c'est pourquoi le récent rachat de GVT a été conclu au niveau de Vivendi et non de sa filiale.
Tout d'abord, la direction du britannique Vodafone a changé récemment. Et le nouveau PDG du groupe britannique, Vittorio Colao, semble plus ouvert à la discussion que son prédecesseur, Arun Sarin, qui a dirigé l'entreprise de 2003 à 2008.
Ensuite, l'arrivée prochaine de Free dans la téléphonie mobile, principale vache à lait de SFR, induit un risque de baisse de la part de marché de celui-ci, donc de sa valorisation. Un risque que Vodafone n'est peut-être pas prêt à prendre, surtout que c'est son partenaire, Vivendi, qui a le contrôle opérationnel total de SFR.
Une telle opération pourrait coûter 10 milliards d'euros à Vivendi, mais lui permettrait de toucher 100% des dividendes de sa filiale tout en lui donnant les coudées franches à l'international. Le pacte d'actionnaires de SFR empêche en effet la société d'avoir une activité en dehors de France : c'est pourquoi le récent rachat de GVT a été conclu au niveau de Vivendi et non de sa filiale.