Il y a du mieux chez Akka ! La société d'ingénierie a vu son chiffre d'affaires reculer de 11,9% seulement au troisième trimestre, contre une baisse de 15,4% au premier semestre.
Akka bénéficie notamment de l'excellente tenue du secteur de l'énergie, dans lequel ses facturations ont progressé de 23%, et d'une stabilité de l'activité dans l'aéronautique.
L'impact de l'arrêt des programmes automobiles (secteur d'origine d'Akka, qui travaillait beaucoup avec Renault) reste sensible, mais le communiqué rappelle qu'une partie de la baisse d'activité est volontaire : après le rachat de Coframi, Akka a en effet abandonné progressivement certains contrats non rentables.
L'international représente désormais 12% du chiffre d'affaires et est appelé à se développer, dans le cadre de l'accompagnement des grands comptes français à l'étranger.
Si Akka reconnaît que la visibilité reste limitée, la fin de l'exercice s'annonce sous de meilleurs auspices, le groupe pointant même un redressement du secteur automobile depuis septembre. C'était presque inespéré !
Le titre, en retard sur le marché depuis le début de l'année, devrait réagir favorablement à cette annonce demain matin.
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